Prévenir les maladies et compléter les traitements

la naturopathie en prévention et accompagnement

Excellente prévention contre les maladies de civilisation

Diabète, dépression, endométriose, cancers, sont des maladies en constante progression dans notre société moderne. Liées à notre mode de vie sédentaires et à la « malbouffe », elles font partie des maladies qui sont très bien prises en charge par la naturopathie, en complément d’un suivi médicalisé.

Quelles sont les maladies de civilisation que la naturopathie peut prévenir ?

Dépression

Une mauvaise alimentation induit une dégradation de la santé du système digestif, en particulier la paroi des intestins. Cette porosité provoque une mauvaise assimilation des vitamines et minéraux, ce qui peut mener à des carences et de la dénutrition, et favoriser la prolifération d’une bactérie nommée candida albicans, qui peut être à la base d’une déprime passagère.

De plus, la qualité des nutriments parvenant aux cellules est mauvaise, et peut impacter la production des « hormones du bonheur » : sérotonine, endorphine, dopamine, ocytocine, noradrénaline

Diabète

Le diablète est la conséquence de l’abus de sucre, et du dérèglement du fonctionnement du pancréas par le stress (stress : dérèglement système nerveux, qui s’appuie sur le système glandulaire, ce qui peut impacter le fonctionnement des glandes, comme le pancréas.)

Infertilité

La prévention des problèmes d’infertilité est le suivi des deux parents en termes d’alimentation et d’hygiène de vie dès la tentative de conception. L’objectif est d’assainir le terrain et améliorer les chances de conception. Il faut que le corps des parents soit le plus exempt possible de toxines pour que le bébé ne les reçoive pas en héritage.

3 cures : avant, pendant et après.

Comment la naturopathie contribue à la prévention des maladies ?

Elle agit par le biais de l’alimentation, de la gestion du stress, la régulation du sommeil, les trois vecteurs principaux d’apparition des maladies étant une mauvaise alimentation, le stress et les insomnies. Il faut ajouter l’ouverture des émonctoires (organes qui permettent l’évacuation des déchets organiques tels que les pores, les reins ou le foie) pour faire sortir les toxines, car l’encrassement est facteur de perte de vitalité et d’affaiblissement du système immunitaire.

Rééducation alimentaire

Gestion du stress

Régulation du sommeil

Ouverture des émonctoires

Accompagnement aux pathologies lourdes

Rééquilibrage alimentaire, micro-nutrition et restauration du « terrain » par une hygiène de vie globale sont les principaux axes d’accompagnement naturopathique. Totalement personnalisé et adapté à la personne ET à la pathologie, ils permettent de mieux vivre avec la maladie, et de diminuer les effets secondaires des traitements médicamenteux.

Rétablir les capacités d’auto-guérison du corps

Cela consiste à nettoyer le terrain pour aider le traitement à être le plus efficace possible, et que l’organisme, en retrouvant de la vitalité, puisse recommencer à s’autoguérir et à s’autoréguler.

Gérer les effets secondaires des médicaments

Diminuer les effets secondaires des traitements médicamenteux avec des moyens naturels pour rendre la maladie plus facile à supporter.

Autres accompagnements

Accompagnement aux jeûnes et monodiètes

Le jeûne

Pourquoi jeûner ?

Le jeûne permet au corps de se nettoyer des toxines en présence dans nos tissus. C’est un nettoyage en profondeur de l’organisme qui lui permet à la fois de récupérer de la vitalité, et de se débarrasser de ce qui l’encrasse.

Comment jeûner ?

Il ne suffit pas de décider d’arrêter de s’alimenter. Une descente alimentaire avant, et une remontée alimentaire prudente ensuite sont deux étapes indispensables pour ne pas nuire à l’organisme. C’est la raison pour laquelle il est préférable d’être accompagné par un professionnel, au moins lors du premier jeûne.

Les bienfaits du jeûne

Ils sont nombreux. Le nettoyage est physique certes, mais il est également mental. En débarrassant l’organisme de ses surcharges, on permet également à la psyché de se restaurer. La perte de poids n’est qu’un effet secondaire, et ne doit pas être le but premier d’un jeûne.

Les précautions à prendre

Un bilan de vitalité à faire auprès d’un naturopathe est nécessaire. Tout le monde n’est pas en capacité de jeûner, surtout les personnes sous traitement médicamenteux. En fonction du poids, de l’âge et de la vitalité de la personne, le naturopathe émettra un avis favorable ou non.

Le jeûne intermittent

Il consiste à ne pas s’alimenter pendant au minimum 13 heures, de façon à laisser le système digestif se reposer.

De nombreuses personnes font du jeûne intermittent spontanément, en ne déjeunant pas le matin, ou en ne dinant pas le soir.

Il ne nécessite aucun suivi particulier.

La monodiète

Une monodiète consiste à ne consommer qu’un seul aliment pendant une durée déterminée. La plus connue est la monodiète de raisin à l’automne, mais elle peut se faire avec n’importe quel fruit ou légume, sur une durée allant de 1 à 3 jours. 

Le but est de mettre le système digestif au repos quelques temps.

Il n’y a pas de précautions particulières à prendre, sauf pour les diabétiques, qui feront plutôt des monodiètes de légumes, l’apport en sucre d’une monodiète de fruits étant trop élevé.

Témoignages : ce que la naturopathie leur a apporté

Lorsque je vous ai rencontré, il y a un peu plus d’un an, vous avez pris le temps de m’écouter afin de me prodiguer des conseils adaptés à mes besoins et à mes conditions de vie. Rapidement, après nos deux premiers rendez-vous, j’ai ressenti une amélioration de mon état de santé et aujourd’hui, je vais bien et je sais ce que je dois faire pour continuer à aller bien. Je continue à suivre vos conseils qui ont été très efficaces et qui sont plutôt faciles à retenir et à appliquer.
Vos fiches techniques sont très bien faites et vos notes que vous nous donnez à la fin de chaque entretien m’ont permis d’être à l’écoute pendant nos échanges et de pouvoir m’y rapporter lorsque j’en ai besoin.
Je vous remercie pour votre aide et vous dis à très bientôt.

 

Hélène M.